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Durant ces dernières décennies, la recherche du bien-être gagne de plus en plus la population du monde occidental. Trois raisons peuvent expliquer cela. Premièrement, ces pays ont atteint un certain niveau de développement et réalisé un niveau suffisant de développement pour que la question de survie ne soit plus au cœur des préoccupations. Désormais, la qualité de vie devient plus importante qu’autre chose. Ensuite, la montée de l’individualisme caractéristique des pays en développement a fait primer le bonheur personnel par rapport à la prospérité collective. Enfin, la reconnaissance de l’étude du bien-être en tant que discipline a favorisé sa banalisation et sa quête.
Mais qu’est-ce qu’on entend réellement par bien-être ? Scientifiquement, la réponse à cette question suscite encore de nombreux débats, surtout en psychologie, dans la mesure où les spécialistes en la matière n’arrivent pas à se mettre d’accord s’il faut le mesurer objectivement ou subjectivement. Dans tous les cas, le paradigme subjectif semble prendre plus le dessus pour le moment. D’ailleurs, les recherches visant à trouver un lien étroit entre le bien-être subjectif et le bonheur se développent de plus en plus. Au centre de l’attention : comment les gens évaluent-ils leurs qualités de vie ? Généralement, cette évaluation se fait par la combinaison de la satisfaction personnelle par rapport à la vie en générale (qui s’apprécie à travers le présent et la situation qu’on imagine idéale ou méritée) et l’affecte (concerne l’humeur et l’émotion). Dit plus simplement, le bien-être se ressent lorsque l’on a plus ou moins réussit sa vie professionnelle, et que l’état physique est au beau fixe et à cela s’accompagne un épanouissement personnel (amour, famille, ami, vie associative).